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Jérémy Ménez et les peigne-culs…

Il suffit « seulement » d’une petite demi-heure, paraît-il, pour obtenir la nouvelle coiffure de Jérémy Ménez. C’est l’avis, très autorisé, de Pascal Raffy-Buge, l’un des plus distingués et respectés artistes de la planète cheveux. Trente minutes, c’est à la fois court et long. Parce que, selon ma coiffeuse à moi, l’on ne sait pas combien de fois il faut la retoucher cette coiffure pour qu’elle reste admirable. Un peu comme la barbe de Serge Gainsbourg dont il fallait bien entretenir le côté permanent de « trois jours », justement.

Donc, trente minutes – disons par semaine – pour arriver à ce résultat. Ma coiffeuse, elle encore, que j’ai été voir ce matin m’a confié que chacun faisait ce qu’il voulait côté capillaire. Et je l’approuve. Plus elle a de clients et plus je la vois enjouée ma chère amie, plus elle s’applique et plus on l’apprécie dans le quartier. Elle aime le tif, elle aime le poil bien travaillé et c’est quand même l’essentiel. Je l’ai questionnée mais elle n’a pas voulu m’avouer, solidarité professionnelle sans doute, si la coiffure « de putois » (c’est le nom officiel de l’oeuvre) de Ménez lui semblait réussie ou non.

Les réflexions sur sa coiffure ? Ménez s’en brosse…

Ce qu’elle m’a laissé entendre en revanche, son mari l’a hurlé la veille au soir devant PSG-Lille, c’est que l’attaquant parisien avait joué comme un pied contre les nordistes. Que sa prestation avait été indigne d’un client d’une telle renommée. Si l’on respecte si bien son merlan, heu… pardon son esthéticien(ne) capillaire, on doit se respecter soi-même, a-t-elle ajouté assez chafouine… D’ailleurs, Thierry Roland lui-même l’avait remarqué il y a quelques jours, se gaussant en direct de l’aspect « pas très très sexy » du Parisien déjà auteur d’un match de peigne-cul… A se demander si sa choucroute ne l’entraînerait pas vers un nouveau rôle de gate-sauce…

Alors Ménez est-il, contrairement à Samson, déstabilisé par son pudding « teinturluré » ? Il s’en défend et son bon pote Adil Rami a même voulu copier son look qui fait la joie de son coéquipier Mamadou Sakho. En tout cas, il n’a jusqu’à maintenant pas voulu, ou pas osé, dévoiler le nom ni l’adresse de son Figaro. Merci pour lui…